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Coopération, innovation et diversification sont les clés du succès futur du secteur de la viande rouge en Afrique australe. Tel est le message ayant émergé à l’issue de l’atelier « Maladies animales transfrontalières et accès aux marchés : l’avenir du secteur du boeuf en Afrique australe », qui s’est tenu à Pretoria, Afrique du sud, les 7 et 8 avril 2008.

L’atelier était organisé par l’Institute for Development Studies de l’Université du Sussex (IDS), avec le concours du Wellcome Trust et du ministère britannique du Développement international (DFID). Il constituait le point d’orgue d’un projet visant à explorer les différentes modalités devant permettre de lutter contre l’impact de la situation de fièvre aphteuse endémique sur l’accès aux marchés de la viande rouge produite dans les quatre pays de la région SADC (Botswana, Namibie, Afrique du sud et Zimbabwe).

Cet atelier rassemblait un large éventail de délégués représentant la Commission européenne, l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE), l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Institut international de recherche sur le bétail (ILRI), les commissions économiques régionales pour l’Afrique orientale et australe (COMESA et SADC), l’organisation AHEAD (Animal Health for the Environment and Development), les services vétérinaires nationaux des quatre pays prenant part au projet, ainsi que le Swaziland et le Royaume-Uni, le secteur du commerce de viande en gros, diverses ONG et des organisations de producteurs.

Ce document fait partie d’une série de briefings sur notre projet concernant la science vétérinaire.